Urbaine
Aimer les villes ,c'est l'aveu de deux femmes André Chedid et Marie Rouanet:la première dit :
Je m'attache aux pulsations des villes
A leur existence mouvementée
Je respire dans leurs espaces verts
Je me glisse dans leurs ruelles
J'écoute leurs peuples de partout
J'ai aimé les cités Le Caire ou bien Paris
Elles retentissent dans mes veines
Me collent à la peau
Je ne pourrai me passer
D'être foncièrement
Urbaine
La seconde écrit "Dans la douce chair des villes ":
Oui,il est de bon ton de décrier la ville et de s'extasier sur la campagne...
Suit une description réaliste de la vie à la campagne à la mauvaise saison,quand l'on patauge dans la boue et que les gentils animateurs se sont éloignés
Et pourtant ,poursuit-elle, le citadin continue à affirmer qu'il supporte difficilement la ville.En fait ,il l 'aime .Après les haltes campagnardes ,brèves le plus souvent - il dit "trop brèves",mais est-il honnête ?-,il retrouve avec une joie profonde ce qui fait l'essence des cités :l'animation,le choix ,le bruit ,les lumières.
...
(Ah,les lumières ,voilà qu' on accuse maintenant les villes de pollution visuelle ,elles devraient donc bientôt briller plus modestement)
Et Marie Rouanet d'ajouter
Pour moi j'aime la ville,les villes.Les connues et les inconnues,celles d'un soir ou deux,celles de longues années de fréquentation ,les grandes gigantesques ,et les petites ,trés petites parfois.J'aime les fréquenter,regarder,bader-comme l'on dit ici-...
Moi aussi ,j'aime parcourir la campagne mais j'ai choisi de vivre à la ville ,où on peut baguenauder à sa guise ,s'instruire ou prendre le soleil ,multiplier les rencontres ,être libre en somme.Et puis il y a quand même encore quelques bonnes librairies ,n'est-ce pas?
Je m'attache aux pulsations des villes
A leur existence mouvementée
Je respire dans leurs espaces verts
Je me glisse dans leurs ruelles
J'écoute leurs peuples de partout
J'ai aimé les cités Le Caire ou bien Paris
Elles retentissent dans mes veines
Me collent à la peau
Je ne pourrai me passer
D'être foncièrement
Urbaine
La seconde écrit "Dans la douce chair des villes ":
Oui,il est de bon ton de décrier la ville et de s'extasier sur la campagne...
Suit une description réaliste de la vie à la campagne à la mauvaise saison,quand l'on patauge dans la boue et que les gentils animateurs se sont éloignés
Et pourtant ,poursuit-elle, le citadin continue à affirmer qu'il supporte difficilement la ville.En fait ,il l 'aime .Après les haltes campagnardes ,brèves le plus souvent - il dit "trop brèves",mais est-il honnête ?-,il retrouve avec une joie profonde ce qui fait l'essence des cités :l'animation,le choix ,le bruit ,les lumières.
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(Ah,les lumières ,voilà qu' on accuse maintenant les villes de pollution visuelle ,elles devraient donc bientôt briller plus modestement)
Et Marie Rouanet d'ajouter
Pour moi j'aime la ville,les villes.Les connues et les inconnues,celles d'un soir ou deux,celles de longues années de fréquentation ,les grandes gigantesques ,et les petites ,trés petites parfois.J'aime les fréquenter,regarder,bader-comme l'on dit ici-...
Moi aussi ,j'aime parcourir la campagne mais j'ai choisi de vivre à la ville ,où on peut baguenauder à sa guise ,s'instruire ou prendre le soleil ,multiplier les rencontres ,être libre en somme.Et puis il y a quand même encore quelques bonnes librairies ,n'est-ce pas?